Dans un calme obscur.. une ombre s'avance

Marchant lentement d'un pas tranquille, une ombre se faufilait depuis quelques temps dans l'obscurité grandissante. Ses longs cheveux blanc s'entremêlaient et giflaient son joli visage à mesure qu'elle avançait. Le vent grandissant aurait pu paraitre désagréable mais elle s'en fichait. Cela faisait maintenant quelques jours qu'elle était partie à la recherche des siens. Bien entendu, lorsqu'elle avait entendu parler d'une école d'apprentissage des Zuïas, elle avait décidé de s'y rendre le plus tôt possible.
Accélérant le pas, Elwë entendit un bruit à sa gauche. D'un geste instinctif , elle déplaça sa main droite jusqu'à sa hati. Rapidement, elle dégaina avec agilité et para une dague qui venait en direction de son visage. D'un bond en arrière, elle s'assura de mettre une distance respectable entre son adversaire et elle même. Suite à cela, elle vit un homme sortit de nulle part, une épée sanglante à sa main. A en sujet par son apparence, il devait être un chasseur habitant de cette sombre ville. Elwë eut un sourire devant la motivation de l'homme à l'exterminer. Apparemment il avait l'air d'un bon niveau.. Ce serait donc une chasse dès plus interessante.
Ne s'embrassant pas de paroles inutiles, l'inconnu et la le jeune femme se mirent en position de combat. Attaquant la première, Elwë assena un coup de hati vers la jambe de l'adversaire qui esquiva avant de pointer son sabre vers l'épaule de la jeune femme et de rater son coup. Souriant avec cruauté, Elwë savait pertinemment que le combat était gagné d'avance pour elle. Les Zuïa étaient réputés pour leur maitrise au corps à corps et leur légendaire armes : la Hati.
Avec une rapidité extrême, Elwë se retrouva derière l'inconnu. Celui çi destabilisé ne pu contrer le coup que la Zuïa lui porta au dos. Cette dernière recula afin d'éviter un coup de contre attaque du chasseur. Regardant la hati ensanglanté d'Elwë, l'homme comprit qu'il allait mourir. Le poison se propageait avec une rapidité mortel dans le sang de la victime. Après que son ennemi fut complètement mort, elle reprit sa route avec cependant beaucoup plus de vigilance.

Ce n'est que quelques heures plus tard qu'elle arriva enfin devant le territoire morbide des Zuïa. Un immense portail interdisait l'entrée aux étrangers. un champs de fil barbelés entouré le domaine sous des hectars de terre. De gauche à droite on pouvait apercevoir trois gardes Zuïa, surement en formation. Elwë se souvint alors de cette épreuve qu'elle avait du jadis passer. C'était éprouvant et fatiguant mais elle avait tenu bon ce qui lui avait valu le grade d'espion.
Approchant encore de quelques pas, elle sentit la présence de 7autres Zuïa bien plus fort. Elwë avança doucement en rajustant sa capuche et en mettant la main sur sa hati.
Puis soudain, elle se baissa avec rapidité évitant une dague qui volé vers elle. Instactivement,elle se mit en position de combat, son arme à la . Instactivement,e lle se mit en pôsition de combat, son arme à la main près à parer.

" Qui êtes vous ? "

Une voix masculine percait cette tension qui était empli de silence. Elwë s'énerva quelque peu puis se calma rapidement. Elle n'aimait pas qu'on ose lui parler de la sorte.

" Je suis Ancalimon Elwë, élève 237, Zuïa confirmé "

Une pointe de fierté brilla dans sa voix lorsqu'elle annonça son rang mais un regard moqueur en sa direction la glaçca rapidement Elwë n'avait pas le temps à perdre et décida de ne pas preter attention à ça.

"Je suis venu afin de terminer ma formation et d'accèder au rang de Judicateur "

Après avoir prononcé ces quelques phrase, elle attendit en silence l'eoil aux aguet. Puis elle apercut soudain une porte s'ouvrire et quelqu'un descendre les marches d'escalier avec grâce. Ne sachant si elle devait oui ou non avancait, Elwë prefera demeurait à la même place, attendant que la personne se mette à parler...

( Suite? ]

[ Je viens skatter, si tu attend quelqu'un, je supprimerais ^.^ ]

Il faisait nuit. Déjà. Son regard s’envole au ciel, éclat doré sous ses mèches rouges. Une personne on-ne-peut plus particulière se tenait là, arrogante, comme toujours, au portail, observant les allées et venues des Zuïas, où des rares aventuriers osant désirer traverser. Il va sans dire qu’il était impensable de les laisser repartir aussi finement qu’ils étaient venus. Mais celle qui s’approche là semble sur ses gardes, et qui n’avait pas tord de se conduire ainsi. Même parmi les Zuïas, des imbéciles existaient, et personne n’était à l’abri d’un coup de dague… Comme celle qui survint alors que celle qu’elle observait avançait. Se perdant dans l’obscurité de la nuit, l’arme n’avait touché personne, et n’avait fait que dessiner un sourire sur les lèvres de Louve. Au moins, elle méritait son rang, méritait d’être reconnue…

Ancalimon Elwë… Zuïa confirmée… La jeune femme nota cela dans son esprit, pour elle-même, tandis que on regard continuait de la fixer, l’observant sous toutes les coutures, elle qui pouvait voir sans être vue, de là où elle se tenait. Elle était fière, et sûre d’elle. C’était ce qu’on attendait d’une Zuïa… Doucement, la main de Louve s’envola, se posant contre la vitre glacée, et elle choisit de se montrer. Inutile de la laisser là, sachant que les gardes ne lui seraient d’aucun secours. Peut-être dans son ennui pouvait t’elle lui être d’une quelconque aide… Cela faisait longtemps qu’elle ne s’était pas amusée…

Elle se dirigea vers la porte, l’ouvrit doucement, sans paraître se presser, et descendit les escalier tranquillement, puisque rien ne la pressait. Le vent vint jouer dans ses longs cheveux rouges, tandis que ses yeux dorés étaient posés sur Elwë, l’examinant à nouveau. La jeune femme n’avait qu’une légère tunique, légère et pratique, aux nombreux recoins permettant bien des choses, et était tout à fait en état de se défendre si toutefois il arrivait à celle qui lui faisait face des idées suicidaires, comme par exemple celle de l’attaquer. Louve était arrogante, et détestait perdre, n’acceptant pas les défaites. Alors l’idée même qu’on puisse la battre, elle ne l’envisageait que trop rarement. C’était l’un de ses nombreux défauts… Mais revenons à notre silence devenu bien trop pesant. Les gens déjà présents, eux, préféraient l’ignorer, cette personne qu’ils trouvaient détestable à souhait, et qui avait préféré s’exiler après une faiblesse que d’affronter la réalité en face. Peut lui importait ce qu’ils pensaient, Louve n’en avait rien à faire. Brisant le silence d’une voix calme et posée, elle déclina son identité.

« Bonsoir… Je suis Louve, assassin... »

Derrière elle, le portail venait de s’ouvrir. Cependant, son regard suivit le vol d’un papillon nocturne, et ses lèvres esquissèrent un sourire délicat.

« Judicateur… C’est un poste que beaucoup d’entre nous visent, même inconsciemment… Pourquoi toi ? »

Sa question était simple, sans agressivité. Juste de la curiosité, une curiosité qu’elle voulait assouvir. Oui, Elwë paraissait forte. Mais la réponse, elle voulait l’entendre elle-même.

Elwë s'attendait étrangement à voir un Judicateur descendre . Constatant que ce n'était pas le cas, elle en fut légèrement dessus mais ne laissa rien paraître. Elle étudia la jeune feme qui descendait avec grâce. Elle avait un regard hautain et glaciale. Cela faisait longtemps qu'Elwë n'avait pas rencontré d'adversaire digne d'être a sa hauteur et voyant la Zuïa elle fut persuader de suite qu'elle devait etre d'une grande puissance. Cette dernière se présenta alors. Louve. Un nom bien étrange pour une personne mais assez charmant. ElWê le retint en se le répétant plusieurs fois. Qui sais, cela pourrait peu être servir plus tard. Puis, Louve indiqua son rang et la jeune Ancalimon ne put réprimander un sourire. Ainsi donc, elle était de rang égal et de puissance apparement presque identique.

Elwë s'avança alors d'un pas puis sorti sa Hati délicatement. Elle la pris des bouts des doigts et s'amusa a la faire tourner doucement. Puis l'inconnu lui posa alors un question. Une question indiscrète en plus. Elwë grimaça legerement. Elle se permettait de lui parler en premiere et de plus pour lui poser une question. Cela ne plaisait pas du tout à la jeune Zuïa. Se calmant doucement, Elwë choisi avec soin ses mots pui se mit à déclarer d'un ton rpovocateur

" Surement parce que pour être Judicateur, il faut avoir un bon niveau. Et lorsqu'on à se bon niveau on souhaite monter en grade"

Ses quelques paroles suffirent à dire implicitement qu'elle était forte et qu'elle le savait. Faisant toujours balancer sa hati, on pouvait remarqué de nombreuses coupures sur le manche. En effet, dès qu'Elwë combattait un adversaire de haute puissance, elle entaillé sa hati comme le voulait la tradition des Zuïa.

Elwë avança encore de quelques pas, franchissant ainsi la ligne de garde. Elle ne lachait pas du regard la jeune Zuïa. Un moment d'inatention pouvait lui être fatal, elle s'en rendait bien compte...

Elle suivit avec attention les actions d’Elwë, avec un air relâché qu’abordait peu souvent les Zuïas, toujours prêts quoi qu’il arrive. Sa Hati sortie, elle observa avec amusement les coupures sur le manche de l’arme fatale de sa race. Une telle marque de puissante paraissait futile à Louve, et elle-même n’entaillait son arme que lorsqu’elle perdait un combat. En effet, elle jugeait apprendre beaucoup sur elle et sur les autres lors d’une défaites. Pour elle, une défaite était un moment de faiblesse lors d’un combat, qui lui aurait valu la mort. D’une victoire, on n’apprend rien… Et pourtant, sa Hati était porté avec honneur, sans honte particulière.

Suite à sa question, Louve nota une légère tension monter en Elwë. Elle se contrôlait bien, mais laissait toutefois paraître certaines réactions que les Zuïas étaient entraînés à déceler. Son ton provocateur trahit un désir d’être au moins aussi puissante, voire plus, et cela n’échappa pas non plus à Louve. Mais peut-être que son interlocutrice le faisait exprès, auquel cas la jeune femme n’en voyait pas l’utilité. À ses paroles, s’échappa de ses lèvres un doux rire, qui s’envola au vent aussi légèrement qu’une plume, disparaissant au loin. Elwë n’était pas dupe. Il ne fallait donc pas la sous-estimer. Tant mieux, ça n’en serait que bien plus amusant. La voyant avancer, toujours autant sûre d’elle, Louve ne regretta pas alors d’être descendue.

« Un bon niveau ? Tout est relatif… Et tous ceux qui ont ce niveau n’ont pas forcément envie de monter en grade… »

Elle eu un sourire frivole, l’espace d’un instant. En un sens, elle comprenait Elwë. Si l’occasion lui était offerte, autant qu’elle en profite. Mais si ce n’était que pour se sentir supérieure, et pouvoir s’affirmer, il était alors inutile de terrasser tout le monde, et de devenir maître du monde. Oh non, loin de là… L’avis de Louve était tranché : Être Judicateur était bien dans le sens où, Oh, chouette, on peut tuer tout le monde et être le plus fort, assujettir les gens et leur apposer la marque… Où tout du moins ces privilèges n’étaient t’ils qu’apparence… Quel était l’intérêt de ne pas trouver d’adversaire à sa taille, et de plier les autres à sa volonté, chose qu’il lui arrivait souvent de faire. Mais laissons là ces réflexions intérieures qui nous mènent bien trop loin du sujet initial. Le regard de Louve soutient celui d’Elwë, et à son tour, elle avance, encore un peu, autant qu’elle, sans pour autant saisir sa Hati… C’est inutile. Être sur ses gardes, elle est habituée, et peut alors adopter une attitude quelconque, puisque seul son regard la mesure vraiment à sa juste valeur. Si la demoiselle compte l’attaquer, elle est prête à la saisir, à tourner, et à esquiver la première attaque…

En même temps, c’est une Zuïa, il est normal qu’elle s’imagine tout de suite, et qu’elle soit prévoyante…

La réponse de Louve ne convenait pas à Elwë mais cette dernière n'en laissa rien paraître. Puis s'arrêtant alors, elle plongea son regard vers celui de la jeune Zuïa avec insistance. D'un autre côté, elle sentait les autres Zuïa qui bouillaient d'impatience de voir les deux jeune femmes en actions.Elwë arrivait même à savoir les quelques paroles qu'ils échangaient. Elle aussi aurait aimé se battre contre la Zuïa mais hélas elle n'avait pas vraiment le temps. Elle avait voyagé pendant des jours afin de trouver ce domaine et n'avait plus qu'une envie, c'était parler avec un Judicateur. Puis soudain, une question frappa Elwë, s'avançant d'un pas, elle demanda alors d'un ton banal :

" Dis moi, que fais tu là toi? Viens tu finir ta formation? Ou est ce que tu viens d'accéder au grade Zuïa ? "

Elwë s'était souvenu des premières paroles de la femme. celle ci s'était présenté en tant qu'Assassin et c'était un grade légèrement inférieur aux Zuiä eux même. Puis, elle se demanda alors si Louve possédait une Hati. Plongeait dans ses réflexions, elle affichait un air neutre, le regard toujours tourné vers celui de l'assassin.
La jeune Ancalimon avait espérer que tout se passerait bien. Elle avait enchaîné beaucoup de combats ces derniers temps et voulait se présenter devant les Judicateurs dans un aspects des plus présentables. Elle ne pouvait alors se permettre de ce battre maintenant, surtout que son adversaire avait l'air très puissante malgré tout...

[ dsl pour ce petit post ^^"]

[ Arf... Désolée du retard, et de la taille du post, mais avec une seule main, c'est pas simple --' Je te débloque ;P ]

Elle semblait... Pressée... Dans tout son être, Louve le devinait. À la remarque de la jeune femme, un délicat rire vint de ses lèvres, devenant monentanément nuage dans les airs, puis un ton léger accueillit la réponse...

"Si je veux finir ma formation, ou si je viens d'acceder au grade..."

Elle répeta ces mots avec une forme de satisfaction. Elle laissa un silence de quelques secondes s'établir, ravie que la question ai été posée... Puisqu'elle ne s'y était pas attendue. Que pensait Elwë ? Bonne question. Mais loin de vouloir la cerner, Louve tendit son bras sur le portail ouvert. Si elle était pressée, autant qu'elle y aille. Notre demoiselle quand à elle venait de recfevoir un appel. Inutile de rester là. Elle la reverrait sûrement en tant que Judicatrice...

"Peu importe... C'est eux qui t'attendent."

Elle ne lui laissat pas le temps de lui répondre. L'instant d'après, la silouhette de la demoiselle s'évanouissait dans l'obscurité.

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