L'arrivée à Zizek...

L'ambiance était bruyante dans la taverne. Entre les poivrots ivres morts affalés sur les tables, criant :

"Grzgnnn... TAVERNIEEERRRRRR... Un *hic* un 'ti coup d'pinard svous *hips* plait ?"

Ou bien...

"Cervoiiiii*hips*seeeee !! Par icii........."

*Eh ben, c'est pas joyeux.... Mais ma camarade me semble mal en point, je ne peux pas continuer à la traîner derrière moi ainsi, c'est trop dangereux pour nous deux... Je vais faire halte ici, et attendre qu'elle se remette... J'espère qu'elle ira mieux demain.

Ca pue ici... Il y a beaucoup de bruit... Il ne faut pas que je me fasse repérer... Sois attentif mon petit Garëann.*

Il avança donc dans le le Crochet, en essayant tant bien que mal de ne pas se heurter trop aux tables... S'approcha du comptoir.

"Aubergiste ?
-Hm, qu'est-ce que j'peux faire pour vous p'tit damoiseau ?
-La nuit, c'est combien ?
-Mon p'tit gars, dit-il en machônnant un cure-dents et après l'avoir scruté de haut en bas, ici c'est... 13 pièces d'or par personne..."

*Arnaqueur...*

"Bien, ça m'ira. Voilà donc 30 pièces d'or... Menez-moi à une chambre.
-C'par-là, mon p'tit damoiseau, dit-il avec un sourire narquois."

L'aubergiste ( ou l'arnaqueur ) mena donc Garëann dans une chambre...

*Bon dieu, c'est sale... M'enfin. Le lit à l'air confortable pour ma jeune camarade...

Me voilà vraiment arrivé à Zizek... Hm. Sans mauvais jeu de mots, je suis pas sorti de l'auberge....*


Garëann installa Shalya sur le lit... Elle semblait vide, comme si son esprit était... Ailleurs. Un moment d'absence, pensa Garëann. Il fit donc un oreiller avec sa cape, et s'allongea sur le sol, en priant que sa camarade revienne vite et que personne de les dérangea pendant la nuit... Tout en maudissant ce sale *** d'aubergiste.

[ Si j'ai pas le droit de faire ce transfert de topic, effacez hein ]

Tamir quitta la plage, perdu dans ses pensées. Décidement rien allait. Sa quête n'avançait pas; elle dérangait les gens et enfin elle ne parlait plus à sa seule véritable amis dans cette ville, Lenaly.
Elle était seule. Une assassin qui n'arrive même pas à assassiner (voir dans les ruines), perdu dans une ville qui ne l'interressait pas.

Après avoir traversé la moitié de la ville à grand pas, plongé dans ses réflexion, elle s'arrêta devant Le Crocher. Pourquoi justement devant cette auberge, mistère. Ce qui est sur c'est qu'elle entra dans l'auberge.

Cette dernière était bondée de monde. Tamir enleva son capuchon, s'approcha du contoire et commenda une chope de bière. En attend l'arrivé de sa commende, elle observa la salle. La plupar des personnes présente était des hommes dont la plupart n'était plus en état de tenir une conversation. Le patron lui tendit sa chope et Tamir déposa les pièce demandé avait d'aller s'assoir à la seule table encor libre. Elle se glissa jusqu'au font de la salle et s'assie sur une chaise bancal contre le mur. Elle laissa trainer ses oreilles d'une conversation à l'autre et apris que deux envouteurs était entré très réssament dans l'auberge et avait pris une chambre. Elle apris aussi que la femme parraissait mal en point et n'avait pas bougé le temps que son compagnon commende une chambre.

Tamir fut surprise que des personnes dans un tel état puisse faire autant attention à des détailles comme celui là.

Elle n'apprit rien de plus interressant. Apparement les personnes présentes dans cette auberge ne s'interressait à rien qui valle vraiment le coup.

Tamir finit sa bière et en commenda une autre, n'ayant rien d'autre à faire de toute façon.

Garëann sursauta. Il n'avait pas senti la moindre variation dans la respiration lente de la jeune femme. Il se releva, rabattant ses cheveux tombés sur son visage.

Vous êtes rétablie ! Je dois dire que j'ai eu peur. Pour mon nom, c'est normal, dit-il avec un petit sourire, je ne vous l'ai point dit, dans le feu de l'action... Mon nom est Garëann.

Aurais-je l'audace de vous demander le vôtre ?

[5 lignes minimum ! > Neige qui m'a dit de te le rappeler < ]

"Moi... on va dire que ce sont des raisons familiales... Après ce qui est arrivé dans le village d'où je viens, je ne pouvais pas décemment rester. Sans compter que j'ai envie de retrouver mon père, même si je doute que le fait d'avoir une fille envouteuse l'enchante au plus haut point."

Shalya n'en avait rien à faire. C'était la seule chose qui la faisait avancer. Peut-être courrait-elle après un fantôme. Peut-être qu'il avait été tué par un Zuïa ou assassiné par d'autres personnes parce qu'il était un Narkombre.

"Sinon, je suis aussi venue pour voir si je ne pouvais pas trouver une chanson à écrire sur quelqu'un et qui m'assurerai un confortable retraite. Une superbe épopée à raconter. Je suis ménestrelle, si j'ai oublié de vous le préciser..."

Tamir était toujour assise au fond de la salle du Crochet. Elle n'attendait personne en particulier et rester donc seul à sa table. Quelque client, les seuls encor en état de comprendre quelque chose, lui jettaient des regards pas vraiment dissimulés. C'est vrai que voir une femme seul s'ennivrer au milieu d'homme qui n'inspire pas vraiment confiance n'est pas, disons, courrant.

Tamir était en train de finir sa sixième bière, quand une grosse brutte, qui puait l'alcool, s'approcha d'elle en bouscullant au passage une bonne dizaine de personnes.

L'homme était solident batti. Il était grand, au moin une tête et demi de plus que Tamir, avait de large épaule, et le ventre gonflé par un excé de bière. A sont apparence, on l'aurait crucharpentier. Ce qui était sur c'est qu'il n'avait pas que de bonne attention en s'approchant de Tamir.

Cette dernière tendit son esprit vers le sien pour voir se qu'il lui voulait
et aussitôt elle glissa sa main vers son pougnard qui ne la quittait jamais.

L'homme arriva à sa table et la regarda, avant de s'affaler sur une chaise proche de la jeune femme. Il approcha son visage du sien et lui murmura:

"Alors beauté sa te dit une nuit avec moi?"

Il continua de s'approcher de Tamir quand cette dernière posa, avec une rapidité effarente, son poignard sur la gorge de l'étanger qui stopa son geste sur le champ.

"ça te dirait de mourir avait la nuit?"

Tamir progeta, dans l'esprit de son voisin, la vision du sang, ruisselant le long de sa gorge.

L'homme palit, se retourna et vomit sur la personne maintenant face à lui. Se dernier se retourna et lui envoya un coup de point dans la figure. Le charpentier tomba à la renverse sur la table de Tamir qui se brisa sous le corp de l'homme. Une bagare général commença.

Tamir se fofila au milieu des combattants et monta à l'étage, où elle se retrouva bientôt face à un jeune homme inconnu qui lui lança un étrange regard.

[c'est pas grave mais maintenant c'est à toi Garëann ^___^]

"Ménestrelle ? Très intéressant ! Me ferez-vous l'honneur de..."



Il stoppa net sa phrase lorsque des bruits de pas rapides dans l'escalier se firent entendre, et que la porte de la chambre s'ouvrit. Le bruit laissa place à un silence pesant dans la chambre, entrecoupé d'une plus forte respiration de l'arrivant, ou plutôt arrivante, car on pouvait deviner à son souffle que c'était une femme. Garëann tourna immédiatement la tête vers l'inconnue, et saisit discrètement son bandeau, qu'il avait enlevé et posé à côté de sa cape et de son sabre.

"Veuillez ne pas vous offenser, mais... Qui êtes-vous et que voulez-vous ? Vous vous êtes peut-être trompée de chambre... ?

A moins que... Shalya, est-ce que vous la connaissez ?"

*Sa respiration ne traduit pas la peur... Elle ne fuyait donc pas. Pourquoi ces bruits de pas si rapides ? Reste vigilant, elle n'a pas l'air mal intentionnée... Mais on ne sait jamais.*

Garëann se prépara à se lever, dans le cas d'un quelconque... Problème.

[ Edit : Merde !! Oui, Langue Morte >< réflexe pourri du color=plum T_T jsuis fatigué... Désolé, on dira que c'était par panique ^^' ]

[oublie pas que Tamir ne sait pas parler la langue morte xD]

Shalya ne fit aucun commentaire sur l'interruption, mais suite à la
demande de Garëann, elle jugea opportun de répondre a sa question :



"Non, je ne sais pas qui c'est. Ce parfum et la manière de marcher de cette jeune femme me sont totalement inconnus."

Elle pencha la tête sur le côté, comme pour mieux entendre les os craquer de ceux qui se battaient en bas... une bataille d'ivrognes avec des jurons... c'était charamnt tout plein. Elle demanda, tout en dirigeant son visage vers l'entrée de la chambre, là où elle supposait que Tamir se trouvait :

"Pouvons nous vous aider, Mademoiselle ?"

Tamir arriva à grand pas dans la chambre. Deux personnes était présentes. A sont arrivé la conversation cessa et les deux étranger se retournèrent.

La femme portait un bandeau, signe que c’était une envouteur. L’homme quand à lui saisi son propre bandeau qui était posé sur la table. Elle tendit son esprit vers lui pour voir ses intensions. Il était simplement vigilant à son égard, pas méfiant ni apparait, juste vigilant.

Il s’adressa à Tamir en langue morte, langage que cette dernière ne parler pas et ne comprenait pas. Sa camarade lui répondit dans leur langue maternelle avant de s’adresser à l’arrivante en Zizékien.

Tamir trouver ça très impoli de leur par de se parler en langue morte alors qu’elle «était présente ; c’est comme si elle se m’était à parler en glénien, ce qui n’était pas une si mauvaise idée.

« Non vous ne pouvez pas m’aider. A moins que vous ne souillez les assassin que je cherche ? Mais j’en doute à voir votre tête vous êtes n’oserai même pas tuer une mouche. »

Ses paroles étaient dures et méchante mais en même temps elles étaient vrai dans le fon. Tamir chercher effectivement des assassins pour qu’elles puissent les assassiner, plutôt comique comme situation.

[pas plus d'inspi désolé ]

[U_u J'ai pourtant parlé en Zizekien a un moment T_T]

Le fait qu'on parle un langage lui étant inconnu ne faisait ni chaud ni frois à Shalya. Ça lui était presque égal tant que ça ne la concernait pas de trop près. Après tout, si ça lui plaisait, elle pouvait toujours parler en Narchombi, mais il y avait l'infime possiblilité que la jeune femme qui avait fait irruption dans la chambre connaisse aussi ce dialecte.
Elle se contenta alors de sourire en chantonnant tout bas, histoire d'avoir quelque chose à faire pendant que Garëann s'occupait de l'inconnue.
Elle prit alors la petite shpère argenté qui était toujours dans son sac et elle l'écouta pendant ce petit moment où elle était livrée à elle-même. Une musique s'en échappait mais pour l'entendre, il fallait très bien écouter...

Nouvel échange en langue morte puis l'homme se retourna vers Tamir et s'adressa à elle en Glénienne.
Cette dernière étonné par la connaissance de cette langue par un envouteur, ce ressaisi et se calma. Après tout elle parlait bien le Narkombi, alors pourquoi ne parlerait il pas le Glénien. Elle c'était laissé emporté et avait dit des choses qui n'aurai jamais du sortir de ses penssées. Mais se qui est fait est fait. On n'y peux plus rien après.

"Vous parlez le glénien mieu que je l'aurait soupsonné."

Tamir l'observa un moment puis se souvenant quelle avait oublié de répondre à une partie de la question elle ajouta:

"Je me nomme Ariani et vous ne pouvait m'être d'aucune aide"

Moin ils en savaient sur l'indenté de Tamir, plus longtemps ils resteraient en vie.

"Puis je savoir qui vous êtes et comment ça ce fait que deux envouteurs se retrouve dans une auberge bondé d'hivrognes, ... d'autant plus que votre camarade n'a pas l'air d'appressier l'odeur de l'alcool."

La femme en question était assise à l'autre bout de la salle, le regard perdu dans une petite sphère argenté. Tamir avait parlé d'elle dans son language pour que seul l'homme la comprenne.
Tamir s'avança un peu plus dans la salle et alla vers la fenètre. Elle jetta un coup d'oeil à la rue, tira les rideaux et retourna vers la porte d'entrée qu'elle ferma soigneusement. Ensuite elle attendit la réponse de l'homme.

L'homme disait s'appeller Gareann, ce n'était pas un nom du coin et Tamir n'avait jamais entendu parler de lui, il était donc dans la ville depuis peut et le voyage qu'il évoqua était donc son arrivé à Zizek.

Tamir fut surprise par la voie douce et monocorde de l'envouteuse, elle s'était attendu à une voie plus chantante, surtout qu'elle disait être ménestrelle.

"Vous avez était poursuivit par un assassin et vous venez dans une auberge pour trouver la sécurité qui vous interdite dehor? Vous êtes soit fou, soit complètement ignorant. Regarder avec quelle facilité je me trouve ici avec vous à ma merci, alor un assassin en pleinne nuit... vous voulez vraiment mourir. Ma fois c'est dans votre droit."

Tamir trouvait vraiment étrange d'aller chez la sécurité dans une auberge où tout le monde et sort à sa guise et où les personnes sont toutes, ou presque, ivre.

" Vous ne devez pas souvent fréquenter ce genre d'établissemnt car une personne ivre n'est pas si facilement métrisable que vous semblez le croir."

Tamir, faisait les cent pas dans la chambre. Leur manque de consience la rendait dingue. Elle s'arrêta, étonné par ce resentiment. En effet c'est bien la première fois qu'elle, une assassin, songez à défendre des personnes contre une autre personne de sa sorte.

*étrange comme la vie change*

Elle se rapella qu'elle avait oublié de leur dire ce qu'elle faisait là.

"Je suis là pour vous protéger et surtout pour vous sauver la vie."

C'est étrange de devoir dire un truc qu'on vient juste de découvrir. Tamir le remarqua. Elle était monté à l'étage pour aucune raison consiente. Peut être avait elle était appellé. Mais par qui? Tout ce qui est sur c'est que maintenant qu'elle était là elle savait qu'elle devait les protéger mais elle redoutait leur réaction et ne savait pas non plus comment si prendre, si ils acceptent son aide, ce qui était mion sur.

Garëann était étonné de l'énervement de la Glénienne, mais en même temps amusé qu'elle veuille les prendre sous son aile... Bien qu'elle ne connut pas leurs capacités, qui pouvaient ( en tout cas celle de Garëann, celle de Shalya lui étant inconnues ) les tirer de maintes difficiles situations.

A votre merci ? Hmmmmoui, si vous voulez, dit Garëann d'un air amusé mais non moqueur. Pour notre poursuivant, je pense qu'il a laissé tomber.

Mais qu'est-ce qui vous pousse à vouloir nous aider ? Vous dites vouloir nous sauver la vie... Pensez-vous que nous soyons en danger ?! Comment comptez-vous nous aider ??

Désolé de vous poser autant de questions mais votre venue et vos paroles sont pour le moins inattendues, dit Garëann avec un grand sourire, en se rasseyant en tailleur.

*Etrange, étrange... Mais amusant. Je suis curieux de connaître la suite ! *